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Être ou ne pas être une femme libre ?

Oser se découvrir pour devenir la belle femme libre que chacune d’entre nous peut être, est une des choses les plus difficiles à faire.

On nous propose tant de modèles tout faits, bonne fille, bonne mère, sex symbol, gentille épouse, que partir à la découverte de son vrai Soi aujourd’hui comme autrefois est plus proche du parcours du combattant que de la simple promenade.

La peur est constante, la peur de s’écarter du modèle, la peur, si l’on bouge, d’être trop loin des normes et de ce qui se fait : « Et si je n’étais plus aimée ?

Que puis-je montrer ? Ton visage, diront les uns. Tes jambes, diront les autres ». Une épaule, un sein, un pied, le jeu est sans fin, les femmes sont les proies naturelles de ces règles qui tournent à vide et les transforment en objet.

Un petit pas pour un long voyage

« Un voyage de 1000 lieues commence toujours par un premier pas », disait Lao Tseu, l’homme qui savait, comme personne, avancer sans faire de bruit. Il laissa peu de mots et une grande sagesse sur notre terre : la libre circulation des énergies.

Un petit pas est un mouvement, sans doute le plus petit qu’on puisse faire pour avancer et c’est pour cela qu’il est aujourd’hui le grand maître de ma vie.

On le sait peu, mais la méthode des petits pas est à l’origine une théorie de l’amélioration défendue par le Docteur américain Edwards Deming. Après la seconde guerre mondiale, il partit aider le Japon dans sa nécessaire reconstruction et sa théorie eut là-bas un tel retentissement que le monde asiatique lui trouva à la fois un nom, le Kaïzen, et une réussite à sa démesure.

Le principe est simple,